lundi 6 juillet 2015

Gibson art


Cela fait des années que je regarde ces dessins exécutés à la plume, d'une main de maître : on sent que Charles Dana Gibson croquait à la hâte, pressé de faire apparaître des visages, des histoires et toujours plus d'histoires, c'est ce qui me plaît le plus chez lui. Je me rappelle qu'au lieu de travailler en classe au lycée, je m'appliquais à reproduire ces Gibson girls, leur chignon et leur demi sourire sur mes affaires d'adolescente... 
Et même si aujourd'hui, j'ai appris à me détacher de son style (tout comme de celui d'Hal Foster) et ne dessine plus les visages de l'ancêtre de la pin-up, je reviens souvent à ses images comme à un beau rêve qui s'est achevé en 1910...

The game of bridge

A man in love

The turning of the tide


mercredi 1 juillet 2015

Affiche à la française : Brénot


De toute sa production, cette affiche se détache nettement : mouvement, couleurs d'une époque sixties qui font écho à des temps plus anciens quand les danseuses de cabaret étaient reines. Je cherche toujours d'autres belles illustrations de cet artiste, rien encore qui n'égale celle-ci. Créer une telle image à l'échelle d'une vie, c'est déjà bien suffisant...